UNE PREMIERE EN AFRIQUE: UNE CITE DANS LE FLEUVE

Une première en Afrique : Construction d’une cité dans le fleuve Congo

Le projet phare et gigantesque de la Cité du Fleuve va être la vitrine de la nouvelle ville de Kinshasa construite sur les marécages du fleuve Congo. C’est en ces termes que s’est réjoui le vice-Premier ministre chargé de la Reconstruction, Emile Bongeli lors de la visite qu’il a effectuée mardi sur le site pour se rendre compte de l’effectivité des travaux.
Une cite en plein fleuve Congo ! du jamais vu en RDC. Mais ce rêve est en train de devenir une réalité grâce à l’idéologie de la reconstruction du Chef de l’Etat, Joseph Kabila, initiateur des 5 chantiers de la République. la Cité du Fleuve est un projet de construction ultramoderne et viable qui va s’étendre sur 374 hectares récupérées des eaux du fleuve Congo.
Il est un site unique en son genre et un espace idéal par son aspect pittoresque sur lequel va être construit une ville ultramoderne grâce au génie de l’intelligence humaine. " Aujourd’hui, il faut croire en la capacité de l’homme de dominer et de maîtriser la nature ", a indiqué le vice-Premier ministre chargé de la Reconstruction, en saluant la détermination des ingénieurs à sortir des eaux une grande cité pour la construction d’une ville de rêve. La construction de la nouvelle ville qui donne sur le fleuve Congo est un ambitieux projet de modernisation urbain, unique en son genre en Afrique ".
Ce projet, de la Cité du Fleuve répond au mot d’ordre du Président de la République de construire une nouvelle ville ultramoderne pour faire de celle-ci la nouvelle destination touristique et d’affaires du monde entier. Les travaux entamés par la société de la Cité du Fleuve consistent à relever le niveau de l’île à travers les travaux de remblais grâce à la drague qui récupère le sable avec l’évacuation des eaux en cette période de crue. Il faut trois ans pour le remblayage du site et dix ans pour construire la nouvelle ville. Une route d’accès au canal de 20 hectares a été réalisée. Son promoteur, M. Robert Choudury a qualifié d’un projet facile grâce au sable abondant et de meilleure qualité grâce aux études hydrographiques, géotechniques et topographique ainsi que d’impact environnemental ont été concluants.

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LES 5 CHANTIERS : SUCCES ATTENDU DANS LES KASAI

Les 5 chantiers en pleins cœurs de deux Kasai

Joseph Kabila Kabange vient d’obtenir de l’Inde 168 millions de dollars pour le barrage de Katende, au Kasai occidental (centre de la RDC), 45 millions pour celui de Kakobola, dans le Bandundu (ouest) ainsi que 50 millions additionnels pour le chemin de fer urbain de la capitale congolaise”, Kinshasa.
Ces très bonnes nouvelles pour la RDC ont été rendues publiques en octobre dernier à l’occasion de la visite à New Delhi d’une délégation ministérielle congolaise dans laquelle se trouvait le Gouverneur de la province du Kasai Occidental Trésor Kapuku. A cette occasion, l’Inde et la République démocratique du Congo (RDC) ont signé un accord de financement portant sur 263 millions de dollars destinés principalement à des travaux d’infrastructures.
Le gouvernement indien va également financer la formation en informatique et en énergie solaire ainsi que les travaux d’adduction d’eau potable dans les milieux ruraux en RDC pour 25 millions de dollars tandis qu’un million sera prévu pour l’achat de médicaments. D’autres rencontres ont également eu lieu entre la délégation congolaise et des hommes d’affaires indiens, intéressés par le secteur minier et l’agro-alimentaire en RD Congo.
L’obtention de cet important financement pour le barrage de Katende a été saluée sous des ovations nourries par la population de Kananga qui avait réservé un accueil digne d’un vainqueur de la coupe du monde à son gouverneur de retour au pays. Avec la récente visite de Joseph Kabila à Mbuji Mayi qui a libéré les salaires des agents de la Miba et promis une enveloppe de 20.000 USD pour la relance de ce géant minier dès janvier 2010, tous les espoirs sont donc permis pour la relance économique de ces deux provinces qui constituent des pools économiques importants pour le pays.
Pour les observateurs, les 5 chantiers sont entrés en plein cœur de deux Kasaï : l’énergie électrique ne sera plus un rêve mais deviendra une réalité, de même que l’amélioration des conditions de vie des populations. Les 5 chantiers sont en marche.
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LES ATOUTS DES CINQ CHANTIERS EN CINQ POINTS

Le lancement des 5 chantiers a requis un cadre de conception stratégique qui devait englober en son sein un ensemble d’objectifs de gestion de pouvoir pour le mandat de Joseph Kabila. Ils sont une composante du vaste document programme intitulé « Mes 100 propositions pour un Congo nouveau. Mon nouveau contrat avec le peuple congolais », document que la cellule de communication électorale du candidat Joseph Kabila avait produit en son temps, en juin 2OO6 en prévision justement de la campagne électorale. La cellule s’est inspirée de la vision du Chef du Chef de l’Etat pour le redressement du Congo au travers de son discours d’investiture du 23 janvier 2001 , analysé scientifiquement et politiquement de manière à pénétrer la pensée profonde du Président et de ce qu’il voulait réellement faire du pays en terme de grandeur, et aussi des plusieurs programmes du gouvernement que le Chef de l’Etat avait initiés avant la transition et pendant la transition.
La réalisation des cinq chantiers s’articule sur une programmation rationnelle. Mener à bien les cinq chantiers implique des engagements encore plus énergiques, des efforts supplémentaires et des fermes partenariats.
1. Ils ont recueilli un consensus national. Le Gouvernement de la République l’a intégré dans son programme d’action
2. Ils sont devenus le symbole de l’effort national pour les 5 années de mandat du Chef de l’Etat et reflètent un engagement partagé du Président de la République, du Gouvernement et du peuple congolais ;
3. En se concentrant sur les secteurs sociaux économiques de base, les 5 chantiers peuvent contribuer à définir les termes d’une politique de développement qui soit non seulement déterminé par l’intérêt des nantis mais aussi à l’avantage des pauvres
4. Les 5 chantiers sont souples et ouverts, en ce sens qu’ils peuvent être adaptés au contexte local, régional et national, et ajustés aux situations et aux attentes spécifiques
5. Les 5 chantiers découlent d’un cadre d’analyse politique stratégique. En se fixant une date butoir sur des dimensions de base du redressement socio-économique, ils sont ancrés dans ce cadre fidélisation de l’action de son initiateur, le Président Joseph Kabila qui sûrement sollicitera un second mandat.

Une école de plus à Goma

Goma : construction d'une école primaire par le Fonds social de la République

Le Fonds Social de la République Antenne du Nord-Kivu vient de remettre sa 45ème infrastructure réalisée en faveur de la population du Nord-Kivu. Il s’agit de l’école primaire protestante II Nyiragongo de la ville de Goma. Le coût des travaux est d’environ 71 000 dollars américains.

Kabila communie avec le Kasai

Le Chef de l’Etat visite le désastre des sites érosifs de Mbuji-Mayi et en réconforte les sinistrés
En visite de réconfort aux sinistrés de dernières pluies diluviennes qui se sont abattues dans les villes de Mbuji-Mayi et de Mwene-Ditu (Kasaï-Oriental), le président de la République Jo­seph Kabila a visité, jeudi après-midi, les principaux sites érosifs qui menacent dangereu­sement la ville de Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Ka­saï Oriental.

Joseph Kabila a visité tour à tour les sites de Shambo, Misesa, Tshala Muana et l’éro­sion du quartier Korigolo de la commune de la Muya. Le gouverneur Ngoy Kasanji, le vice-ministre des Infrastructures, Travaux publics et reconstruction (ITPR), Gervais Ntirumenyerwa ainsi que le conseiller principal du chef de l’Etat en charge des in­frastructures ont donné d’amples informations à Joseph Kabila et ont proposé des voies de solutions pour arrêter des têtes d’érosions en nette progression.
Des milliers d’habitants de wibuyi-Mayi se sont masses le long des voies qu’il a empruntées au cours de sa tournée d’inspection. Parmi les autorités venues de Kinshasa, on a remarqué dans la suite présidentielle, l’Ad­ministrateur délégué général Tshikuya de l’Institut national de préparation professionnelle (JNPP) et de l’Administrateur délégué général adjoint Cathy Kalanga de la Caisse d’épargne du Congo (Codeco). Le séjour du président de la République dans la ville de Mbuji-Mayi le poursuit. On apprend même que Jo­seph Kabila y tiendra un meeting populaire le vendredi 27 novembre.

Ca bouge au Congo !

La nécessité pour un pays et, dans toute la mesure possible, de définir une vision et un programme de son développement est une considération primordiale. Ainsi, en ce qui concerne la RDC, le Président de la République, Joseph Kabila Kabange s’est proposé, au lendemain de son élection en 2006, une démarche ciblée de manière à donner un nouvel élan à la vision de la modernisation de notre pays : Les 5 chantiers de la République…

Pour la première fois, le Congo ose un vaste programme de sa modernisation. Celui-ci intervient seulement à la 46^ème année de notre indépendance ! Que de temps perdus ! Après que le pays a été mis sous les rudes épreuves d’un régime colonial déshumanisant, et au lendemain de son indépendance, à de querelles politiciennes, de rebellions et des guerres fratricides, d’agressions extérieures génocidaires, de gabegies financières ponctuées de relâchement de discipline budgétaire, de corruption, de mauvaise gouvernance, et qui ont fort longtemps retardé sa marche vers le progrès, une ère nouvelle a commencé.

Les 5 chantiers de la République ne sont pas seulement un enjeu de reconstruction et de modernisation. Ils sont également la matérialisation d’une nouvelle culture, « la culture du changement », celle qui exhorte toute fille et tout fils de ce pays à œuvrer en faveur de l’édification d’une société congolaise prospère et moderne. Il nous faut donc avant toute chose, bannir l’auto-diabolisation à l’encontre de nous-mêmes et nous sortir de notre esprit le démon du Congo pessimisme, pour croire en notre capacité à changer les choses dans ce pays de nos ancêtres.

Coup de chapeau, dirais-je, à Joseph Kabila pour avoir pris cette initiative qui suscite un vif intérêt de la part de tous ceux qui comme moi aiment le Congo. Ce jeune Président dont parfois les convictions politiques ne sont pas partagées par tous les congolais, peu importe à mon avis,aura eu le mérite d’avoir posé les germes de cette nouvelle culture. L’histoire lui en sera surement reconnaissante.

Déjà, la tournure encourageante que prennent les 5 chantiers de la République conforte positivement cette vision optimiste de la culture du changement dans notre pays. Aujourd’hui, partout en RDC, germent des infrastructures ultra modernes et l’espoir renait. Certes, la route est encore longue qui mènera la RDC à sa modernisation, mais les premiers jalons sont en train d’être posés.

Le débat sur les 5 chantiers de la République ne peut nullement se circonscrire à une évaluation de ce qui est fait ou pas. Il permet de poser des questions sur d’autres innovations qui sont nécessaires pour changer notre pays. C’est en effet le perfectionnement continu des us et mœurs politiques, culturelles, sociales, économiques que nous devons rechercher. La culture du changement ne deviendra cependant réalité que si notre foi en un avenir radieux pour notre pays s’aiguise, sans obstacle et sans délai, sur de principes nouveaux. Bien sûr le rôle des pouvoirs publics dans la définition de ces normes de la culture du changement devra passer au crible de nos réflexions, mais nous ne devons pas perdre de vue que la formulation des propositions et l’ébauche des solutions pour l’ensemble des problèmes que pose la réalisation d’un tel objectif demeurent cependant l’apanage de nous tous. Telle est la vocation de ce blog.Nous souhaitons vivement que ça continue de bouger au Congo. Que les réflexions qui naitront ici contribuent à clarifier le débat pour la modernisation de notre pays et en préciser les termes de référence.

Joseph Potopoto

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Cet espace de communication est guidé par le souci de développer une perception réaliste, mieux ciblée et communément partagé de la vision de la reconstruction et de la modernisation de notre pays, la République Démocratique du Congo en ce début du 3^ème millénaire.

Le patriotisme commande d’encourager et de soutenir les 5 chantiers partout où ils donnent de bons résultats. Il s’agit des discussions d’intérêt national ; il nous faut donc faire en sorte que cette vision de changement trouve une adhésion tangible de la part de tous les compatriotes.

Notre aptitude à agir dépend de notre aptitude collective à avoir foi en l’avenir de notre pays. IL nous faut croire en un Congo uni, fort et prospère, investi d’une véritable responsabilité pour ses générations futures, et qui place sa reconstruction et sa modernisation au centre de nouveaux défis découlant du progrès de l’humanité dans un monde de plus en plus globalisé et qui ouvre de plus larges perspectives à l’avènement des sociétés du savoir.

Le 50^ème anniversaire de l’indépendance de notre pays, qui sera célébré en 2010, nous offrira une occasion particulièrement propice de dresser le bilan des réussites et des déconvenues du passé, tout en nous dévouant de nouveau à la réalisation des objectifs plus nobles et en procédant à une réflexion nationale sur les perspectives et les défis à venir.

Pour ma part, je suis confiant en notre aptitude, à nous Congolaises et Congolais, à relever les grands défis qui attendent notre pays et à notre volonté à tous, de doter notre Mère-Patrie des moyens nécessaires pour qu’elle retrouve la place que nous souhaitons la voir occuper sur l’échiquier des nations du monde.

Joseph POTOPOTO